Un article très intéressant qui démontre les besoins des entrepreneurs comme ceux des retraités ou pré-retraités. Chez AmphiOr, nous nous sommes penchés sur cette question depuis quelques années et avons développé cette entreprise qui met en lien des experts professionnels ou cadres pour répondre aux besoins des entrepreneurs et faire face à cet important problème socio-économique. Il est temps d’agir et de changer les façons de faire traditionnelles.
N’hésitez pas à nous appeler.
En ce 1er octobre, AmphiOr s’associe à la JOURNÉE NATIONALE DES AÎNÉS 2016 pour célébrer le travail accompli par toute une génération qui s’est investie pour bâtir l’avenir avec générosité et savoir-faire. Ils et elles sont encore là pour passer le flambeau en transférant cette expertise à la génération montante. Bonne raison de les célébrer aujourd’hui!
Vous avez fait de longues études, votre parcours professionnel vous a amené à des postes enviables, vous avez travaillé fort pendant 35, 40 ans ou plus… vous êtes au sommet de votre expertise mais l’heure de la retraite a sonné. Beaucoup vous voient en profiter pleinement, c’est-à-dire voyager, prendre du bon temps. Mais vous, vous n’aspirez qu’à une chose… continuer.
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? Pourquoi priver la société de toutes ces compétences accumulées pendant ces années? Vous vous voyez un peu comme le « sage », le « vieux »… pas celui qu’on ignore comme on le voit souvent dans nos sociétés occidentales, mais celui qu’on vient consulter parce qu’il détient la connaissance, comme cela existe encore dans certains pays. Imaginez, pouvoir enrichir son milieu de toutes les connaissances qu’on a accumulées au fil des années pour passer le flambeau aux plus jeunes pour qu’ils s’enrichissent à leur tour et prennent la place!
AmphiOr, une entreprise qui a démarré il y a un an, est née de cette observation. Pourquoi AmphiOr? Composé des mots « Amphi » pour amphithéâtre, lieu où l’on transmet la connaissance et où on la reçoit, et de « Or » pour la richesse des compétences de sa banque d’experts qu’elle a développée et qui s’enrichit au fil des mois. Tous les domaines d’activités sont les bienvenus. On y retrouve d’ailleurs plus de 300 compétences d’experts dans de nombreux domaines comme par exemple en ressources humaines, rémunération, gestion, finances, coaching, gestion du changement, gouvernance, des conseillers stratégiques, des formateurs, …, et la liste pourrait s’allonger indéfiniment.
Faire partie de la banque d’experts d’AmphiOr, c’est vouloir poursuivre sa passion, à un autre rythme, tout en générant d’autres sources de revenus et en gardant une grande liberté dans le choix des mandats qui nous seront proposés. C’est mettre ses compétences au service d’entreprises pour pallier la pénurie d’experts, transférer ses connaissances, en acceptant des mandats particuliers, de courte ou moyenne durée, allant de quelques heures
à un ou deux ans (conférence, recherche, intérim pour un poste de direction, de cadre, de gestionnaire, de professionnel, accompagnement stratégique, mission spéciale au Québec ou à l’étranger, pilotage d’un nouveau projet, etc.). C’est participer à une collaboration intergénérationnelle, à un transfert du savoir-faire.
Comment procéder? C’est très simple : il suffit de remplir le formulaire sur le site et AmphiOr se charge de vous mettre en lien directement avec l’entreprise à la recherche de vos compétences qui lui aura fait une demande pour combler un besoin.
Anne-Marie Philippe
AmphiOr www.amphior.com courriel : info@amphior.com
Tél. 418 573-1753
“Il m’a semblé logique d’utiliser ces gens formés, compétents et inactifs depuis peu pour combler ce déficit et passer le flambeau”
http://guideentrepreneur.com/blogue/startup/amphior-des-retraites-au-secours-des-entreprises
Permettre à des entreprises de bénéficier d’un savoir-faire unique!
Journal des PARCS INDUSTRIELS
http://www.journ-al.ca/pdf/indexpdf/jpi-2016-03.pdf
Voir page 21
Journal LES NOUVELLES ÉCONOMIQUES
http://www.journ-al.ca/pdf/indexpdf/jne-2016-03.pdf
Voir page 2
Des employeurs à la recherche d’un expert? AmphiOr en a discuté avec Myriam Ségal dans son émission Québec se lève! au FM93 , ce dimanche 14 février.
Pour écouter l’entrevue : CLIQUEZ-ICI
Entrevue à écouter : Anne-Marie Philippe sur les ondes de Radio-Canada à l’émission de Catherine Lachaussée – 15h42 – pour présenter les services d’AmphiOr : http://ici.radio-canada.ca/emissions/radio-canada_cet_apres-midi/2015-2016/chronique.asp?idChronique=397296
(Québec) En 2015, 11,4 % d’employés de l’État de plus que l’année précédente ont demandé à prendre leur retraite.
Tel est le bilan final d’une année où le nombre de demandes de prise de retraite dans les secteurs public et parapublic a augmenté en raison, notamment, de la volonté du gouvernement de Philippe Couillard de repousser l’âge officiel du départ de ses employés.
Du 1er janvier au 31 décembre 2015, 26 082 fonctionnaires, enseignants, infirmières et autres employés de l’État – ainsi que des cadres, il faut le préciser – ont fait parvenir une «demande de rente» à la Commission administrative des régimes de retraite et d’assurances – devenue Retraite Québec depuis sa fusion avec la Régie des rentes du Québec. Ce chiffre vient tout juste d’être recueilli par Retraite Québec.
Ils avaient été 23 405 à formuler une demande officielle de prise de retraite durant toute l’année 2014.
Plus de 11 % d’augmentation, «c’est beaucoup», affirme un interlocuteur syndical.
Il reconnaît néanmoins que le bilan final est «moins pire» que ce qui pouvait être craint au terme des six premiers mois de 2015. À ce moment-là, la hausse par rapport à la même période de l’année précédente s’élevait à 17,5 %.
Lors de la longue série de négociations avec les syndicats des secteurs public et parapublic, qui s’est étirée tout au long de 2015, le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, voulait faire passer l’âge de la retraite des employés de l’État de 60 à 62 ans. Il voulait aussi que leur rente soit calculée selon la moyenne du salaire de leurs huit meilleures années de travail et non plus des cinq. Enfin, que la pénalité applicable pour une prise de retraite anticipée passe de 4 % à 7,2 % par année.
L’entente conclue en décembre entre le Conseil du trésor et le front commun intersyndical stipule que l’âge de la retraite des employés de l’État passera de 60 à 61 ans en juillet 2019, sauf pour ceux ayant accumulé 30 années de service. Eux pourront partir dès 60 ans sans pénalité.
L’entente prévoit que la pénalité actuarielle pour une prise de retraite anticipée passera de 4 % à 6 %.
Le chiffre de 26 082 peut être mis en perspective avec le nombre total de personnes dont le régime de retraite est administré par Retraite Québec. Au 31 décembre 2014, dernière date pour laquelle une telle donnée existe, l’organisme comptait 584711 «participants actifs», des syndiqués et des cadres.
26 082 employés de l’État ont pris leur retraite en 2015, comparativement à 23 405 en 2014
584 711 employés de l’État côtisent actuellement au régime de retraite administré par Retraite Québec
Crédit : La Presse, ltée
Jean-Marc Salvet, Le Soleil | 7 janvier 2016
(…)
En 2022, le taux d’emploi de la population âgée de 15 à 64 ans devrait afficher 76,1 %, dépassant ainsi le sommet de 71,7 %enregistré en 2008. «Compte tenu du contexte de ralentissement démographique, la croissance de la population activecontinuera de reposer, dans une large mesure, sur la hausse de la participation des femmes, sur une plus grande fidélité aumarché du travail de la part des quinquagénaires et des sexagénaires, ainsi que sur un solde migratoire favorable.»
(…)
L’offre de travail viendra des jeunes ayant terminé leurs études, de la future population immigrante, des personnes de 65 ans et plus qui seront plus nombreuses à mettre l’épaule à la roue et des gens en chômage qui décrocheront finalement un boulot (…).
«La hausse de la participation au marché du travail des personnes de 65 ans ou plus, observée depuis le début des années 2000, se poursuivra. L’augmentation rapide de cette population, occasionnée par l’arrivée des premiers baby-boomers dansses rangs et combinée à un taux d’activité toujours en croissance, fera augmenter de près de 50 % le nombre d’aînésprésents sur le marché du travail. Cela représentera un apport de près de 50 000 personnes dans la population active.»
Départs à la retraite: 27 % des travailleurs à remplacer
La croissance de l’emploi n’est pas le seul facteur qui déterminera les besoins de main-d’oeuvre. N’oublions pas que 1,1 million des Québécois devraient prendre leur retraite d’ici 2022.
«Cela signifie qu’il faudra remplacer, en 10 ans, plus du quart [27 %] de la main-d’oeuvre qui était en emploi en 2012», fait remarquer Emploi-Québec.
Certains niveaux et domaines de compétences seront plus touchés que d’autres par les départs à la retraite. Par exemple,plus du tiers des gestionnaires sera à remplacer d’ici 2022. Idem pour les professionnels qui détiennent une formationuniversitaire.
Deux secteurs n’échapperont pas aux conséquences du vieillissement de la population : celui des affaires, de la finance et de l’administration et celui de la santé. Le tiers des personnes y occupant un emploi aura tiré sa révérence.
Crédit : La Presse, ltée
Gilbert Leduc, Le Soleil | 22 juillet 2014
